AO2C

Les Amis de Caroline Coppey


Mot de passe oublié ?





Le mot du président

Chers amis et adhérents,

Imaginez une assemblée générale d’AO2C…
Choisy le Roi, banlieue sud de Paris. La Seine au bout de la rue. Un immeuble industriel étagé, de couleur ocre rose, reconverti en lofts résidentiels et ateliers d’artistes. Avec ses formes cubiques et ses fenêtres en bandeaux, il pourrait aisément passer pour une construction de Le Corbusier, n’était l’absence de pilotis et d’un toit terrasse. A l’évidence, nous ne sommes pas aux portes de la Cité radieuse, chère aux Marseillais incrédules qui la désignaient comme étant la maison du fada. Et pourtant…
Poussons le lourd portail métallique et pénétrons, intrigués, dans cet ilot de tranquillité pris en étau dans un environnement chaotique, typique de l’urbanisation baroque de ces quarante dernières années. Là, une cour proprette qu’égaient des plantations en pot ainsi qu’un grand rosier Pierre de Ronsard. Est disposé, comme une invitation à prendre ses aises, du mobilier de jardin dépareillé. Le long d’un mur, une table sur des tréteaux, garnie de provisions de bouches salées et sucrées. Pour un peu, on se croirait égaré dans un phalanstère.
Caroline nous accueille, souriante. C’est pour elle jour de fête. Le thé est servi, breuvage détox censé nous protéger des vapeurs d’acrylique…
Il fait beau. On se réunit au grand air. En l’absence de Brigitte, Roland se fait secrétaire. Pour un président fondateur, c’est une marque d’abnégation. Cela renforce notre souhait de l’élever, en clôture de séance, au rang de président d’honneur d’AO2C. Son acceptation nous honorera.
L’assemblée est ouverte. On passe en revue les comptes. Ils sont décidément à l’équilibre. On s’en réjouit et l’on se félicite d’administrer une association sachant fidéliser ses adhérents. C’est ensuite le bilan d’activité. Il est riche, riche des actualités de Caroline qui toujours nous étonne par ses belles annonces. Quelques questions. On évoque l’augmentation du prix des matériaux qui, à terme, pourrait peser sur le budget. On vote les résolutions. L’assemblée est levée.
Soudain surgit un poète. Jamais il ne dira que Rome est l’unique objet de son ressentiment. Pour preuve, il y habite et cultive non loin des oliviers. Porteur d’un sac à dos bien chargé, il a des allures de colporteur, venu pédestrement jusqu’à nous. Ce n’est qu’illusion. Avec lui, foin du vil commerce. Peinture et poésie sont ses seuls crédos. Benoît Gréan est parmi nous. Il avise une table, s’assoit et dépose une pile de son recueil, Bleu jour, illustré par des peintures de Caroline spécialement créées pour l’écriture des poèmes. Une première édition en avait été faite. Tous deux n’en étaient pas satisfaits. Celle-ci est de luxe, en papier vélin, façonnée à l’ancienne, reliure cousue. 121 exemplaires. Benoît est rétif aux chiffres ronds. Il nous en fait la présentation. Un agencement subtil de onze peintures pour un poème et un poème pour onze peintures. C’est reposant pour l’œil de celui qui se fait lecteur autant que regardeur ; une calligraphie en volute et des couleurs reproduites dans leur exactitude. Je vous le dis, c’est du grand luxe. Vous souhaitez vous en procurer un exemplaire ? Demandez à Caroline, elle en est maintenant la dépositaire.
Voilà. On se quitte en espérant ne pas attendre un an pour se revoir.
Qui oserait dire que ce ne fut pas un bel après-midi ?

Imaginez maintenant une bâtisse, posée près de la Seine, comme une survivance miraculeuse d’un passé révolu parce que détruit au profit d’un modèle d’urbanisme mal pensé.
21 boulevard Karl Marx, Argenteuil, banlieue nord de Paris. Une maison individuelle assez coquette, aux volets d’un vert tranchant sur le crépi rose pâle. De style chalet, avec ses balcons en bois et son toit à deux pentes bordées de lambrequins, on la croirait venue tout droit d’une bourgade du pays savoyard. A ses pieds, un jardin de taille modeste. C’est ici que vécut et travailla un peintre, durant trois ans, aux débuts des années 1870. Nul besoin de préciser son nom, c’est le maître de Caroline.
L’équipe municipale a décidé d’en faire un musée dédié à son célèbre occupant. Saluons cette initiative !
Il subsiste peu de traces de ces trois années d’occupation, exceptées deux ou trois peintures au jardin et quelques vues d’Argenteuil.
Comment donner l’illusion d’une présence, lorsque l’on ne dispose d’aucun élément concret rappelant cette figure familière au début des années 1870 dans sa maison d’Argenteuil ? Il a certainement fallu beaucoup d’imagination de la part des concepteurs de la scénographie pour que cela soit. Nous demanderons son sentiment à Caroline puisqu’elle a visité ce musée avant son ouverture, fixée lors des journées du patrimoine... et pour cause ; elle fait partie des deux premiers artistes invités à y exposer durant trois mois. Aucun commentaire à faire sur cette excellente nouvelle... si ce n’est... que ce n’est que justice.
Sûrement euphorique à l’idée d’occuper les lieux que son maître a hantés, elle a décidé de sortir des cartons une centaine de pastels jalousement conservés à l’abri des regards indiscrets. Jamais montrés, jamais évoqués, ses premiers essais en hommage à… MONET. Rares sont les artistes qui exposent leurs œuvres de jeunesse. Le plus souvent, ils les renient, les déchirent, voire les brûlent. Pourquoi maintenant et pas hier ? Caroline avait-elle des scrupules à revenir sur ses premiers balbutiements ? Mais ces pastels sont-ils vraiment des balbutiements de peintre qui se cherche ? Nul ne le sait et nous ne lui demanderons pas. C’est son jardin secret.

Imaginez enfin un édifice épousant la sinuosité des éclisses d’un violon.
Dans la plaine champenoise, avec ses vignes tirées au cordeau, on peut dire que cette architecture ondulée apporte un peu de vie à cette morne étendue crayeuse. En vérité, nous sommes à Reims, au conservatoire régional de musique où, si vous êtes attentifs au calendrier des lettres de nouvelles, vous pourrez vous rendre en 2023. Là, outre une exposition, sera exécutée en création une œuvre du compositeur et musicologue Jean-Yves Bosseur pour une petite formation de 7 instruments, couplée d’une projection numérique de Caroline en fond de scène. Il n’est pas exagéré de dire qu’il y a du fusionnel entre ces deux créateurs, puisque l’un a choisi 7 Palettes devant inspirer 7 séquences musicales et que l’autre s’inspirera de chaque séquence pour créer son œuvre numérique. Aux dernières nouvelles, la composition musicale est terminée. Reste à Caroline le soin de s’atteler à son ordinateur aux fins de réaliser sa propre création. Pour la petite histoire, Jean-Yves Bosseur a dédié son œuvre à son inspiratrice. On ne peut que souligner son élégance.
En tout cas, il est certain que Caroline s’épanouit dans ces projets collaboratifs où peinture et musique s’entrecroisent. Rappelez-vous, il n’y a pas si longtemps, c’était 7 Femmes et + que certains d’entre vous ont pu apprécier en direct. Les mêmes se rendront au concert rémois, ignorant si la musique sera sérielle, spectrale, minimaliste ou je ne sais quoi. Juste leurs yeux pour voir et leurs oreilles pour écouter….

Dois-je arrêter là cette litanie des manifestations, au risque de lasser du fait de l’abondance ? En vérité, l’apparente aisance d’une production solaire sortant de l’atelier pour s’exposer masque un travail de fond effectué en amont, obscur et souvent ingrat, reflet d’une obstination forcenée dont Caroline fait preuve, fût-elle confrontée à l’adversité des temps perturbés. Alors, rien que pour cela, une petite dernière tout de même… ne serait-ce que pour se faire plaisir.

Le décor est planté. Un canton suisse baigné d’un grand lac paisible avec son jet d’eau et ses cygnes au regard peu avenant et qui, par gros temps, sait se faire océan déchaîné. Là, sur les rives de cette mer intérieure, une cité, ni belle ni laide, longtemps réputée pour son austérité et son goût du secret, mis à mal au cours de ces deux décennies. C’est Genève, ville de conférences internationales qui, le reste du temps, somnole sur ses richesses. Aujourd’hui, il lui faut diversifier ses activités économiques... avant tout non polluantes. Qu’à cela ne tienne. L’art s’offre comme une belle opportunité, outre qu’il est apparemment vierge du sceau honni de l’empreinte carbone. Et c’est ainsi qu’elle commence à se faire une jolie place sur le marché. Que Basel, grande prêtresse de l’art contemporain et carrefour international du marché du même nom, se rassure, Genève n’aura jamais son envergure, quoique... le marché ayant une fâcheuse tendance à se déplacer. On dit même qu’il est de retour à Paris, pourtant... Art-Basel a évincé cette année notre FIAC nationale ! On s’y perd…
Dans cette ville réside notre ami et adhérent, Fréderic Elkaïm. C’est un spécialiste de l’art contemporain que nous connaissons pour ses écrits éclairants, insérés dans les catalogues que nous « éditons » et finançons. L’audacieux ouvre un espace d’exposition, alors que les galeries virtuelles explosent sur le web. Saluons sa prise de risque ! Un pari fou, qui mérite encouragements et vœux de réussite. Caroline y exposera en compagnie de la petite écurie d’artistes que suit Frédéric depuis plusieurs années. Cette exposition collective s’inscrit dans le cadre d’une vaste animation d’art contemporain devant drainer un large public d’amateurs éclairés, voire d’investisseurs en quête de nouveautés. Merci d’avance à Genève de nous montrer qu’elle sait se remuer au nom de l’art et merci à Frédéric d’y contribuer par sa hardiesse ! Pour nous, ce sera l’occasion d’une joyeuse escapade en pays neutre.

Voilà ce que je voulais vous dire, chers amis, au lendemain de ce dixième anniversaire d’AO2C. Que l’horizon artistique de Caroline soit plutôt engageant par-delà la tourmente climatique et énergétique qui nous guette ! Que votre fidélité contribue largement à maintenir ce climat d’optimisme qui n’a rien de béat, vus les signes annonciateurs de l’embellie retrouvée ! Et si l’hiver prochain vous parait un peu rude, du fait d’un blocage à 19°C de votre chauffage, il suffira d’une petite laine associée à la chaleur communicative d’AO2C pour y remédier.
N’oubliez donc pas de venir nombreux le 28 novembre prochain pour notre traditionnel brunch de fin d’année qui aura lieu, comme à l’habitude, chez notre trésorière, Laure Bazin. D’anciennes et de nouvelles œuvres de Caroline seront présentées. Et Benoît sera présent pour vous lire quelques poèmes et vous dédicacer Bleu jour avec Caroline à ses côtés pour apposer sa griffe C.C.

A très bientôt,

Pierre Ronzaud
Président d’AO2C
Le 3 octobre 2022
Chers amis et adhérents,

Que de perturbations dans nos vies, que de nouvelles contraintes et d’adaptations forcées, plus ou moins bien acceptées, ceci depuis plus d’un an !
Faut-il un brin d’insouciance et une bonne dose d’optimisme pour se convaincre que nous sortirons grandis de cette épreuve ? Au sortir des crises passées, d’un tout autre parfum, certes, c’est ce qui se disait…
Avouons qu’il s’agit là d’une jolie pirouette relevant de la méthode Coué. Mais, pourquoi pas, si cela peut nous guérir de nos mélancolies et autres torpeurs ? Invitation sans réserve à aller de l’avant, à ne pas s’attarder sur les misères d’ici-bas, quel beau programme ! On est prêt à y croire, ne serait-ce que pour sourire à l’avenir.

L’avenir justement… qui nous ramène à ce qui nous rassemble depuis plus de neuf ans. J’ai nommé la création artistique, celle qui se fait dans l’instant présent, et que vous, fidèles d’AO2C, n’avez eu de cesse de soutenir par vos cotisations, vos pensées amicales et votre présence occasionnelle. Cette année encore, j’ai constaté avec bonheur que cette parenthèse surréelle n’avait nullement affecté le lien qui nous unit autour de la personne de Caroline Coppey et de son œuvre en particulier. Un budget à l’équilibre, c’est rassurant, mais ne réduisons pas notre association à son bilan comptable. Il lui faut votre enthousiasme, autant que celui de l’artiste, et, de ce point de vue, nous sommes comblés. Au nom du conseil d’administration, je vous en remercie chaleureusement.

Comblés, ais-je dit, parce l’actualité de notre artiste donne aussi du sens à la mission d’AO2C. Quoi de plus triste et désespérant que de vous annoncer, à l’orée de mon second mandat, qu’il ne s’est rien passé ces douze derniers mois et qu’il en sera de même demain ? Au risque de décevoir les défaitistes (que je n’imagine pas être des nôtres !), je n’aurai pas à le faire.
Et pourtant, il fut un temps assez long où Caroline ne pouvait montrer son travail et l’on ne peut guère douter de son peu de réjouissance à se savoir « enfermée » dans son atelier, privée des échanges dont tout créateur est demandeur. On en connaît plus d’un qui aurait lâché ses pinceaux pour se reconvertir en marchand de quatre saisons. Tel ne fut pas son cas, mais je sais, pour l’avoir entendu de sa bouche, que cette résistance au découragement est en grande partie due à votre présence, fût-elle lointaine, à celle de sa famille et, accessoirement, si j’ose dire, aux quelques commandes et acquisitions qui lui ont été faites par de joyeux collectionneurs.
C’est pourquoi je répète et j’insiste : ne sous-estimez votre rôle dans le fait que Caroline existe encore aujourd’hui en tant qu’artiste et qu’elle est toujours en capacité de nous offrir des évènements.

Pour preuve de ce que j’avance, et sans entrer dans les détails (les lettres de nouvelles y suffisent largement), je vous propose déjà trois rendez-vous :
1) la reprise du très beau spectacle « 7 femmes et + » le 20 novembre au conservatoire de Gennevilliers Edgard Varèse, doté d’un écrin architectural exceptionnel, puis, le 11 décembre, au théâtre La Coupole de Combs-la-Ville dans le Sud-est de la région Ile de France.
2) une exposition collective à Choisy-le-Roi en janvier et février prochain (dates à préciser) où Caroline nous gratifiera de sa dernière création, une série d’œuvres sur verre intitulées « Brisées »
3) une exposition en plein air dans un jardin botanique situé dans le Finistère Nord du 13 au 22 mai 2022.

J’ai fait connaissance du travail de Caroline, voici quatre ans, avec la série des « Froissées » sur toile exposées à la Galerie Malebranche. Puis, je me suis familiarisé avec celle des « Froissées » sur calque et, récemment, avec celle des « Coulées » sur toile de lin. Bientôt, j’aurai à me confronter à celle des « Brisées » sur verre. Obsession de la série. Froissées, Coulées, Brisées, un véritable travail d’artisan qui se mue en œuvre d’art par l’interaction de couleurs uniques et dont le rendu doit autant à la main de l’artiste qu’à l’effet d’un hasard maîtrisé selon le support choisi.
Ainsi se construit lentement, mais sûrement, une œuvre qui, à mes yeux (à vos yeux ?) mérite l’attention du plus grand nombre. Et si je voulais être désobligeant vis à vis d’un certain art contemporain officiel inféodé à la finance, je vous poserais la question : que vaut un gigantesque tas d’ordures exposé à nos sens et à nos frais dans un lieu dédié à l’art d’aujourd’hui et sensé symboliser notre civilisation du déchet, face à un travail qui, se refusant au spectaculaire et à l’éphémère, exige du regardeur un effort d’attention prolongé avant de dévoiler sa substance ?
Je ne le ferai pas, faisant confiance au jugement du temps long, arbitre impartial des valeurs.

A bientôt, chers amis, et, surtout, n’oubliez pas notre traditionnel brunch du dimanche 17 octobre qui aura lieu, comme à l’habitude, chez notre trésorière, Laure Bazin. Un endroit spacieux, aéré et respectueux des consignes Covid.
N’étant pas portés à l’excès de zèle, nous n’irons pas au-delà de ce que la loi oblige. C’est pourquoi, accueillis dans un espace privé sur invitation nominative, vous n’aurez pas à présenter un pass sanitaire. Chacun se déterminera en fonction de sa propre appréciation des risques éventuels. N’est-ce pas mieux ainsi ?

Le président
Pierre Ronzaud

Le 2 octobre 2021
Chers amis et adhérents,

Notre association entame sa neuvième année d’existence, « auréolée » d’un nouveau président élu lors de sa dernière assemblée générale. Ne prenons pas ce changement pour un évènement marquant, mais comme l’une des étapes symboliques rythmant, parmi d’autres, la vie normale d’une petite entité associative.
Faut-il le rappeler ? Roland Tissot avait, à plusieurs reprises, manifesté son intention de passer la main, considérant, à juste titre, que la dynamique associative passait aussi par l’arrivée de nouvelles individualités.
Quoi de plus réjouissant qu’une transmission de « pouvoir » effectuée en douceur ! Nous la devons à l’élégance de Roland et à son refus d’apparaître comme l’inamovible de service. Rien que pour cela, mais aussi pour son dévouement manifesté durant huit ans, remercions-le chaleureusement.
Cette mission, je la reprends dans un état d’esprit similaire, conforté par la bonne santé d’AO2C, la fidélité de ses adhérents et la personnalité humaine et artistique de Caroline Coppey.

Passée cette rapide évocation d’un non-évènement, je voudrais m’arrêter un instant sur ce qui fait le ciment particulier d’AO2C, ce composé subtil, garant du climat de franche cordialité que j’ai pu remarquer depuis mon entrée, voici trois ans.
La structure même de l’association, son mode de fonctionnement familial et néanmoins rigoureux, ainsi que son objet social, font qu’aucun enjeu personnel n’y trouvera sa place. Pire, aucun d’entre nous n’est en droit d’espérer « un retour sur investissement » ... autre que celui d’être au plus près d’un processus créateur. Alors pourquoi adhérer ? Par amitié, altruisme, vive curiosité envers une œuvre protéiforme ? Un peu de tout cela, mais pas seulement. Notre adhésion relève d’un don immatériel ; celui fait à l’art par le truchement d’une artiste qui nous dit quelque chose dans le secret de son imaginaire. C’est bien d’une forme de désintéressement dont il s’agit, chose rare en ces temps où même un petit rien se monnaye. En retour, Caroline Coppey nous offre à la vue son travail, ce work in progress stimulé par sa vitalité.  Et c’est ainsi qu’est harmonieusement rempli le contrat tacitement conclu avec notre artiste.

En vérité, par-delà la saine gestion de vos cotisations assurée par le bureau, le véritable animateur d’AO2C n’est ni le conseil d’administration, ni le président, mais bien celle qui, omniprésente à nos côtés, n’en est pas membre. Cette responsabilité, je sais qu’elle en mesure le poids, autant qu’elle sait avoir toute notre confiance et notre sympathie.

Notre ami Frédéric Elkaïm avait, dans un article critique, qualifié Caroline de « Don Quichotte de la couleur ». Je ne sais si elle se reconnaît dans cette formule imagée. Pour ma part, je la fais volontiers mienne au regard de cette quête utopique à vouloir embrasser le monde (son monde ?) dans un infini de couleurs toutes uniques. Pour autant, et contrairement au tragique du héros cervantesque dans sa dérisoire chevauchée, Caroline a su garder contact avec le concret et braver les dures réalités que sont les règles non écrites du marché de l’art. Dans son combat opiniâtre pour lever les obstacles, on trouvera certes des déconvenues, mais aussi bien des victoires. Pour preuves ? Une exposition en moyenne par an depuis 2000. Ce n’est pas rien dans un contexte de jungle, où la finance le dispute aux publicités tapageuses.

Oui, notre artiste est bien vivante et justifie pleinement que nous lui restions fidèle.
Et pour vous en convaincre définitivement, je vous invite à vous rendre, en fonction de vos lieux de résidence,
le 7 novembre à l’auditorium Saint-Germain à Paris
le 4 décembre au conservatoire de Gennevilliers
le 6 décembre à la salle 6mic d’Aix-en-Provence
le 13 décembre au Théâtre de Mayenne, dans les Pays de la Loire.
Vous y verrez un très beau spectacle d’une heure et quart environ, fait d’un alliage précieux, issu de la fusion de trois disciplines : littérature, musique et art visuel. Vous serez à l’écoute de la fragile voix d’une écrivaine attachante, rendant hommage à sept de ses consœurs dont la lecture a forgé sa liberté de femme, une diction sensible où se mêle à intervalles réguliers l’exécution d’oeuvres de commande écrites par sept compositrices pour un orchestre à cordes pincées. Et en fond de scène, sur grand écran, défileront tout au long les projections kaléidoscopiques de Caroline tirées de ses Palettes numérisées. Rien d’un manifeste féministe pesant comme le sont les manifestes. Juste un moment de grâce…

Enfin, je ne saurais momentanément vous quitter sans vous rappeler notre traditionnel brunch de fin d’année qui aura lieu le dimanche 22 novembre chez notre trésorière, Laure Bazin, comme à l’accoutumée.

A vos agendas, chers adhérents ! Un grand merci à vous tous pour votre générosité et à bientôt, à l’occasion des rencontres d’AO2C !

Pierre Ronzaud,
Président
23 septembre 2020

Paris, le 28 septembre 2019.

Chers membres de notre association AO2C,
Nous voici repartis pour une nouvelle année de soutien à Caroline, notre artiste que nous
accompagnons depuis maintenant 2012. Comme chacune des années passées, nous serons avec elle,
à la place qui l’aide le mieux à s’exprimer, dans les manifestations où son travail artistique sera
accueilli.

Je vous rappelle que vous pouvez retrouver ces manifestations passées et à venir sur le site de
Caroline (caroline-coppey.com) sur celui de notre association
(ao2c.org) mais également dans « Les Nouvelles d’AO2C » que nous diffusons
4 ou 5 fois par an pour rappeler les évènements immédiats et pour informer des projets en cours.

Si le parcours artistique de Caroline se poursuit pour notre plaisir à tous, notre association se porte
très bien, merci pour elle ! Non seulement nous avons des adhérents fidèles mais nous en gagnons
de nouveaux chaque année. Ce sont vos cotisations qui soutiennent la publication des catalogues des
œuvres de Caroline et qui, de manière plus générale, permettent l’achat de matériaux, le
financement de transports ou encore la participation à des opérations de communication.

La dimension associative de notre travail est déterminante. Si vos cotisations nous donnent les
moyens d’agir, c’est l’implication des uns et des autres qui permettent à l’association d’exister. A ce
titre, je tiens ici à évoquer notre amie Odile Meillerais. Elle a été notre Trésorière pendant 6 ans et
c’est un travail essentiel qu’elle a accompli pour nous tous. Nous avons travaillé en toute confiance
et en toute amitié et je tiens à la saluer avec gratitude. Un grand merci aussi à Laure Bazin, qui a
accepté le rôle de Trésorière, après avoir été des années durant notre Secrétaire, et donc bienvenue
à Brigitte Réauté, qui intègre le Bureau au poste de Secrétaire. Merci enfin à celles et ceux qui
composent le Conseil d’Administration, et qui sont de précieux appuis et relais à chaque fois qu’ils
sont sollicités.

Ces mouvements dans le Bureau de notre association sont la vie ordinaire des associations qui
permet à toutes les bonnes volontés de s’exprimer, soit dans ces tâches administratives, soit en
participant aux différentes initiatives que nous entreprenons à l’occasion des manifestations
artistiques de Caroline.

Le bénévolat implique évidement que chacun fait « comme il peut/quand il peut », mais aussi que les
rôles dans l’association doivent tourner. A ce jour, depuis la création de notre association, seule la
présidence n’a pas changé ! Il me semble que le temps approche de poser la question du
renouvellement. De nouvelles têtes, ce sont aussi de nouvelles idées et une énergie différente. AO2C
doit envisager la perspective de ce renouvellement, mais nous avons bien le temps d’en parler !

Merci encore pour votre soutien et de votre implication, et n’hésitez pas à faire connaître notre
association et à faire adhérer autour de vous !

Au plaisir de se revoir bientôt,

Roland TISSOT, Président d’AO2C, au nom du Bureau.

Paris, le 6 septembre 2018.


Chers amis de notre association AO2C,

Au nom du Bureau que vous avez confirmé lors de notre Assemblée Générale de juin dernier, je tiens à vous remercier de la confiance que vous nous manifestez.
C’est déjà la 7e année que nous accompagnons Caroline Coppey dans son parcours de création, et cette aventure n’est possible que par votre soutien. Une association a besoin de gens investis (nous tâchons de l’être) mais aussi et surtout d’une base large et solide, ce que vous êtes par votre fidélité et votre présence lors des rendez-vous de l’artiste et de notre association. Merci aussi à celles et ceux qui composent le Conseil d’Administration, et qui sont de précieux appuis et relais à chaque fois qu’ils sont sollicités.
Cette année 2018 a encore été riche en événements autour de Caroline Coppey, et nous les avons accompagnés aussi bien que possible. Pour cet automne, c’est l’exposition à la Galerie Pfaff de Schwarzenbruck, en Allemagne, qui mobilise notre artiste. Elle se déroulera en novembre et décembre (vernissage le 15 novembre) et nous lui souhaitons toute réussite. Comme pour chaque exposition qu’elle organise, nous tâcherons de la soutenir de la manière qui lui conviendra le mieux.
Enfin, et c’est important, Caroline est en train de réaliser un nouveau catalogue de ses œuvres récentes. Comme pour le précédent, édité en 2014, nous serons associés à sa publication et chaque adhérent en recevra un exemplaire.
Merci encore pour votre soutien, et n’hésitez pas à faire connaître notre association et à faire adhérer autour de vous !

Au plaisir de se revoir bientôt,

Roland TISSOT, Président d’AO2C, au nom du Bureau.

Paris, le 27 août 2017.

Chers amis d'AO2C,

C’est encore l’été vacancier pour nombre d’entre nous mais la vie de l’Association et le parcours de notre artiste continuent !

Aussi je me permets de vous écrire pour un petit point annuel.

Comme chaque année, vous avez été nombreux, présents ou représentés, à notre Assemblée Générale de printemps (le 20 mai cette année). Vous avez renouvelé votre confiance pour les deux années qui viennent à notre Bureau et, avec Odile Meillerais, notre Trésorière, et Laure Bazin, notre Secrétaire, je tiens à vous en remercier. Au-delà des fonctions que nous occupons, nous réalisons une animation collective de l’association. Cette dimension collective se retrouve également avec les membres du Conseil d’Administration, qui, bien que moins sollicités, se montrent réactifs et très utiles dès que nous les sollicitons. Le plaisir de la vie associative tient dans ces échanges désintéressés, et que tous en soient ici remerciés.

Pour la rentrée de septembre, deux événements occupent actuellement Caroline Coppey.

D’abord, l’exposition qu’elle prépare à la Galerie Malebranche, 11 rue Malebranche à Paris, dont l’inauguration aura lieu le 13 septembre à 18h.

Ensuite, l’inauguration de la commande de Parcus pour le hall du parking et le parvis du musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg, qui aura lieu le samedi 30 septembre à 12h, 1 place Jean-Hans Arp.

Vous serez également conviés pour le finissage de l’exposition au Centre d’Art la Philharmonie des Couleurs à un concert-lecture en compagnie d’Emmanuel Coppey (violon) et Benoît Gréan (poésie) le samedi 23 septembre à 16h, à l’Abbaye de Bohéries, à Vadencourt (Picardie).

Depuis plusieurs années maintenant, AO2C accompagne son artiste dans son parcours artistique. Cette année, nous allons contribuer aux dépenses « d’intendance » et de communication de notre artiste. Mais nous allons aussi participer à la réalisation d’un catalogue des œuvres récentes de Caroline Coppey. Le précédent, auquel nous avions déjà contribué, date déjà de 2014 et, depuis, la production artistique n’a pas cessé !

Depuis 5 années maintenant, AO2C agit pour son artiste, et ce grâce à vos contributions.

Merci pour votre confiance, merci pour votre soutien à notre artiste.

N’oubliez pas de suivre l’actualité de Caroline Coppey et celle d’AO2C sur les sites Internet …

N’oubliez pas de cotiser et n’hésitez pas à faire adhérer !

Au plaisir de nous retrouver prochainement !

Roland Tissot, Président d’AO2C



Chers amis d'AO2C,


Au nom du Bureau de notre Association, je vous écris un petit mot à la suite de notre Assemblée Générale de ce 25 juin 2016.

Cela fait maintenant 4 années que nous sommes constitués en Association et nous voulons vous faire savoir que nous nous portons très bien !

Tout d'abord, nous avons toujours plus d'adhérents, et des adhérents toujours fidèles, puisque vous renouvelez régulièrement votre adhésion. Grâce à votre confiance, nous allons cette année rejoindre et sans doute dépasser notre meilleur budget. De votre côté, grâce à vos cotisations, vous êtes toujours plus nombreux à bénéficier des cadeaux que Caroline Coppey met à disposition des adhérents fidèles.

Ensuite, nos journées "rendez-vous", chez nos adhérents, sont toujours agréables et chaleureuses, autour des collections que nos adhérents se constituent des oeuvres de Caroline Coppey.

Enfin, notre site internet (ao2c.org) fonctionne parfaitement et rend tous services utiles en interne et dans la promotion de notre association et de notre artiste.

Pour ce qui concerne notre relation avec Caroline Coppey, notre Association accompagne toujours mieux notre artiste dans ses projets, lesquels sont nombreux et riches en cette année 2016. Si l'exposition au Passage de Retz de février dernier s'est déroulée sans que Caroline Coppey ait besoin de notre soutien, nous serons à ses côtés pour l'exposition de décembre prochain qui se déroulera à la Villa Sturm de Strasbourg. Comme lors des autres interventions à ses côtés, notre participation dépendra de ce que souhaitera l'artiste.

Lors de notre Assemblée Générale de ce mois de juin, Caroline Coppey, qui nous avait invités dans son atelier, a souligné l'importance d'être accompagnée et soutenue, car la démarche artistique est le plus souvent une démarche solitaire et les échanges avec l'association sont un soutien très important.

Depuis 4 années que nous fonctionnons, nous avons constitué une dynamique très solide qui enrichit chacun d'entre nous en plus de la qualité des échanges avec notre artiste. Je voudrais profiter de ce petit mot pour remercier chaleureusement les membres du Bureau, Odile Meillerais (trésorière) et Laure Bazin (secrétaire), grâce à qui le travail est à la fois efficace et agréable, et tous les membres du CA, qui nous soutiennent dès que nous les sollicitons.

Que nous reste-t-il à faire, à partir d'une assise aussi solide ? Comme chaque année, parler à vos amis de l'œuvre de Caroline Coppey et du travail de notre association, nous signaler des idées et des contacts pour promouvoir le travail de Caroline, et participer à la vie associative, en venant aux "rendez-vous" que nous organisons et en vous engageant dans nos instances. Ce n'est pas un travail très prenant, mais c'est très agréable !

En vous souhaitant un bel été et en espérant vous voir bientôt,


Roland Tissot, Président AO2C

Le 26 juin 2016



Bonjour à tous les adhérents AO2C.


Le samedi 30 mai 2015 nous avons tenu notre Assemblée Générale annuelle, juste avant le vernissage de l’exposition de Caroline COPPEY au Centre d’Art Contemporain Aponia de Villiers-sur-Marne.

Après que l’AG a validé les comptes et le rapport d’activités 2014 (bientôt consultables sur le site d’AO2C à partir de votre espace personnel), les adhérents présents ont reconduit le Bureau, qui les en remercie, et a élu deux nouvelles administratrices à qui nous souhaitons la bienvenue : Brigitte REAUTE et Marie SHERIDAN.

Ensuite, Caroline COPPEY a pu faire le bilan de ses activités pour l’année écoulée et de ses projets actuels et à venir.

Enfin, après ces discussions administratives nécessaires et importantes, nous avons eu le plaisir de participer au vernissage de l’exposition de caroline COPPEY. Nous étions une vingtaine d’adhérents présents, et en tout une quarantaine de personnes. Si certaines comptaient parmi des habitués du lieu, d’autres étaient venues grâce au travail de diffusion réalisé par Caroline COPPEY et relayé par notre association.

Ce vernissage a permis d’avoir des promesses de ventes et de rencontrer des personnes que nous reverrons sûrement !

Pour finir, nous invitons les adhérents, qu’ils soient venus ou pas au vernissage, à venir le dimanche 28 juin pour accompagner notre artiste pour le terme de l’exposition à Aponia – Centre d’Art Contemporain, 6 avenue Montrichard, 94 350 Villiers-sur-Marne.

Au plaisir de vous y voir !

Roland TISSOT, Président,
au nom du Bureau de l’Association.

Le 31 mai 2015



Bonjour à tous,

Comme il est désormais de tradition, AO2C a tenu son Assemblée Générale le 24 mai dernier dans l’atelier de Caroline Coppey, à l’occasion des portes ouvertes de printemps qu’elle organise chaque année, ce qui a permis à chacun d’entre nous de savoir où en était son travail.

Au terme de cette Assemblée Générale (le rapport financier est disponible sur le site), le Conseil d’Administration accueille avec plaisir une nouvelle administratrice en la personne d’Elodie Codaccioni. Pour ma part, je suis heureux que Laure Bazin, au secrétariat, et Odile Meillerais, à la trésorerie, continuent avec moi un travail d’équipe convivial et de qualité.

Si notre association a pu accompagner en 2013 Caroline Coppey lors de son exposition à Saint-Rémy de Rouergue, avec de nombreuses retombées positives pour elle, nous ferons mieux encore en 2014 puisque nous accompagnerons l’œuvre de Caroline Coppey autour de deux événements :

Tout d’abord, du 7 juin au 5 juillet, c’est une exposition croisée avec le travail d’Hélène de Beauvoir qui se tient à Goxwiller (Alsace), à l’initiative de nos amis Martin et Margarethe Murtfeld. Qu’ils soient remerciés de leur investissement car cette exposition, inaugurée le samedi 7 juin, est déjà un plein succès, tant pour les ventes réalisées par l’artiste que pour sa notoriété (couverture de presse, présence d’un public nouveau, parmi lequel des collectionneurs français, allemands et suisses). Pour cet événement, notre association a pris en charge une vaste diffusion de cartons d’invitation et une part des frais de transport.

Ensuite, cet été, aura lieu du 8 août au 7 septembre, à Tonnerre (Bourgogne), dans le magnifique volume de l’Hôtel-Dieu, une exposition que Caroline Coppey prépare activement ces temps-ci. Notre association se tient à sa disposition pour intervenir de la manière qui lui semblera la plus pertinente. Cette exposition à Tonnerre, comme d’autres ces dernières années, contribue à diffuser le travail de Caroline Coppey en région, et comme celle de l’an passé à Saint-Rémy-de Rouergue, elle est l’occasion de varier nos routes de vacances !

Pour le dire simplement, notre association se porte bien, autant grâce à l’énergie et à la bonne volonté de ses adhérents que par le dynamisme des initiatives de Caroline Coppey. Continuons de la soutenir et faisons connaître encore davantage notre association : dites autour de vous que les nouveaux adhérents sont les bienvenus et rappelons ici que la cotisation donne droit à une œuvre de l’artiste (à compter de 200 euro cumulables sur plusieurs années).


Roland Tissot, Président,
au nom du Bureau de l’Association.

Le 16 juin 2014



Bonjour à tous,

Un petit mot pour vous présenter le dynamisme actuel de notre association.

Notre association vient de tenir son Assemblée Générale ce 25 mai, en même temps que les portes ouvertes à l’atelier de Caroline Coppey, dans une ambiance très conviviale. L’artiste a pu nous présenter les œuvres sur lesquelles elle travaille actuellement, puis nous avons validé le fonctionnement de notre association. Cette année, nous avons organisé plusieurs événements (visite d’atelier, portes ouvertes chez les collectionneurs – y compris à Tokyo) et nous avons soutenu l’exposition de Caroline Coppey en septembre 2012 à la galerie Alexandre Cadain (rue Quincampoix). Après ce bilan, nous avons remercié Valérie Montalbetti, notre trésorière qui nous a bien aidé dans le lancement de notre association, et nous accueillons avec grand plaisir Odile Meillerais qui la remplace à présent. Avec Laure Bazin, notre secrétaire, nous formons le nouveau Bureau de l’Association.

Quels sont nos projets pour l’année à venir ? Nous allons bien sûr continuer nos activités internes à l’association (visites chez les collectionneurs, et ce dès le 22 septembre) mais surtout nous allons continuer à soutenir Caroline Coppey, qui expose en extérieur à Saint-Rémy-de-Rouergue (13 juillet-15 septembre 2013). L’Aveyron est sur la route de bien des vacanciers, donc passez visiter cette exposition ! En tant qu’association, nous comptons participer activement à l’édition du catalogue qui sera consacré à cette exposition et qui la placera dans la continuité des autres expositions en extérieur que Caroline Coppey a pu réaliser depuis près de 15 ans.

Nous sommes heureux que nos adhérents nous manifestent leur confiance en continuant à adhérer et nous accueillerons avec grand plaisir de nombreux nouveaux adhérents. Je rappelle que la cotisation (en ligne ou par chèque) donne droit à une œuvre de l’artiste, à compter de 200 € de cotisations (cumulables sur plusieurs années).

Alors n’hésitez plus, adhérez et faites adhérer autour de vous pour soutenir l’œuvre de Caroline Coppey et pour participer à la vie d’une association conviviale et dynamique !

A très bientôt !

A tous,

Roland Tissot, Président d’AO2C.
Le 13 juin 2013



Bonjour à toutes et à tous et merci de votre confiance car ça y est, nous existons !

Notre Assemblée Générale constituante s’est tenue le samedi 5 mai 2012 et AO2C est désormais connue des services de Préfecture !

Notre association s’est dotée d’un Conseil d’Administration que je suis heureux de présider pour les deux années à venir. Vous trouverez sur le site la liste des administrateurs de notre Association.

Mais qui sommes-nous et pourquoi cette Association ?

D’abord nous sommes des amateurs d’art et des admirateurs du travail de Caroline Coppey. Lors de l’AG constituante, chacun, pour être mieux connu des autres a pu raconter comment il avait rencontré l’œuvre et l’artiste et pourquoi il souhaitait maintenant soutenir sa création via cette association. A partir d’une idée qui a cheminé parmi quelques-uns d’entre nous, c’est déjà près d’une cinquantaine d’adhérents qui constituent l’Association et nous espérons bien que beaucoup d’autres vont nous rejoindre.

La forme associative nous permet d’accompagner Caroline Coppey, de mobiliser autour d’elle et de ses projets des énergies et des moyens, mais ce n’est pas tout : l’Association, c’est également la convivialité et l’ouverture à l’autre, ici au travers de l’art.

Afin de gagner en souplesse et en réactivité, nous avons décidé de fonctionner à partir du site et par le biais des courriels lorsque des événements se présenteront à nous. Mais nous conserverons au moins un rendez-vous annuel, à savoir l’AG qui rythme la vie associative : rapport d’activité, rapport financier, renouvellement du CA seront l’occasion de nous retrouver quand nous sommes loin et peu disponibles.

L’année 2012 sera l’occasion de deux rendez-vous :
Le samedi 16 juin, nous organisons une journée « portes ouvertes » à l’atelier de Caroline Coppey. Que celles et ceux qui veulent se joindre à nous adhèrent dès à présent à l’Association !

Et nous travaillons actuellement avec l’artiste à l’organisation d’une exposition à Paris cet automne. Nous vous espérons nombreux lors de cet événement à ne pas manquer !

En cette première année d’existence, je souhaite longue vie à notre Association et plus encore tous nos vœux de réussite à l’œuvre de Caroline Coppey !

Roland Tissot, Président d’AO2C.
Le 9 mai 2012



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